Vos Lectures

[Dissident]

Milorad Pavić, Hazarski recnik (le dictionnaire des hazars)

tu le lis en cyrilique ou pas ??

oui

[vatis]

Je commence

"l'ombre du vent" Carlos Ruiz Zafon...
Ca a l'air pô mal du tout...

[El Nino]

Ouais, Krapotkine j'ai lu.
Les autres pas eu l'occasion encore.

Grand révolutionnaire ce Kropotkine. C'était pas un de ces petits merdeux qui criaient "Vive l'anarchie" en buvant. Il lisait et écrivait beaucoup. J'ai lu la "conquête du pain" et c'est grand. Encore très d'actualité !

[marcus]

Ouais, Krapotkine j'ai lu.
Les autres pas eu l'occasion encore.

Grand révolutionnaire ce Kropotkine. C'était pas un de ces petits merdeux qui criaient "Vive l'anarchie" en buvant. Il lisait et écrivait beaucoup. J'ai lu la "conquête du pain" et c'est grand. Encore très d'actualité !

alors lis ses mémoires tu vas halluciné, évasion, crève la dalle, luttes...une vie impressionnante !!

[Dissident]

sinon ceux qui sont intéréssés par la littérature russe, et par l'exploration de la personalité de l'homme (sans s'occuper de la psychanalyse bidon) je vous conseille de lire Dostoievski , " les frères karamazov" et "crime et châtiment", vraiment des chefs d'oeuvre.

Le livre que tu m'as filé, Marcus, faut que jel'imprime quelque part, c'est pas possible autrement

[strummer]

Je commence ça

Dostoievski c'est le Céline russe c'est un génie

[El Nino]

C'est vrai que quand il disait des trucs racistes, c'était un génie ...

[marcus]

C'est vrai que quand il disait des trucs racistes, c'était un génie ...

exact, assez écoeurant d'ailleurs pour un écrivain, mais on peut pas lui enlever "Voyage au bout de la nuit"

[Buc]

C'est vrai que quand il disait des trucs racistes, c'était un génie ...

faut remettre les écrits dans le contextes aussi...

[El Nino]

Ben oui les contextes excusent tout je suppose ...

D'ailleurs, quand Hergé a dessiné "Tintin au Congo", c'était vulgairement raciste et colonialiste, mais bon ... c'était le contexte.

[strummer]

Soit, Céline était un être abject, était antisémite, ça on est d'accord mais c'était un putain d'écrivain, à la fin de sa vie il soignait les gens sans fric, il encaissait pas de blé, l'antisémitisme de Céline est connu parce qu'il a écrit dessus, mais en ces périodes troubles, il y en avait un paquet d'antisémites, alors oui faut replacer tout ça dans le contexte historique, il était pas le plus bon des hommes mais je pense pas que c'était pas le plus gros des enc.... non plus.
Et je persiste à dire que c'était un putain de génie de l'écriture, et puis dire que Céline était antisémite c'est une évidence c'est pas trop un scoop quand même...

[lola]

je viens de terminer celui là, très bon, ecriture simple, et une description de londres avec ses cités HLM, ses bus, sa tristesse, son brouhara constant.....on s'y croirait presque

En résumé
Avec un humour féroce et un sens du rythme, J. Coe nous nous fait découvrir le Londres des musiciens ratés, des filles de famille capricieuses, des barmaids écossaises et des nains assassins

[strummer]

[seb le grincheux]

je ne suis pas lecteur dans l' ame mais je suis allé, par curiosité à la librairie La Griffe Noire à St Maur de Gerad Collard ( le mag de la santé sur france 5 ou LCI)
J' ai été conquis, de la couleur partout et ca m' a donné envie de lire, du coup j' ai acheté "le mal par le mal" de Eric Nataf (pas encore fini)

[strummer]

[mike baroud]

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 47165.html

[MFC]

Le dernier pour la route

* Chronique d'un divorce avec l'alcool
* Hervé Chabalier



Un homme aux prises avec l'alcool raconte le chemin qu'il a parcouru, de l'intimité sombre et solitaire de la dépendance à l'expérience partagée du sevrage en cure de désintoxication. L'occasion de rappeler que les dégâts causés par l'alcool sont considérables en regard de ceux causés par les drogues illicites. Serions-nous trop indulgents ?
Mot de l'éditeur

Plume à la main ou caméra au poing, Hervé Chabalier couvre toutes les guerres depuis plus de trente ans. Pour son premier livre, il a choisi de raconter la sienne, contre l'alcool. Il fallait oser... Être le patron d'une des plus grandes agences de télévision d'Europe (Capa) et prendre le risque d'exposer au grand jour, sans rien esquiver, une expérience si personnelle, si difficile à dire. Les drames d'une vie, ses succès et ses belles aventures, l'envoûtement et le dégoût provoqués par cette maîtresse insatiable, l'alcool, ses longues défaites et sa victoire sur soi-même... Avec une grande pudeur des sentiments et une rare honnêteté, ce témoignage intime, fort, lucide et courageux frappe en plein coeur.
Pendant cinq semaines, Hervé Chabalier a ainsi tenu le journal de sa cure dans une clinique spécialisée. Le travail de thérapie personnelle, la prise de conscience, les exercices quotidiens, les rituels imposés, la solitude, les angoisses, la peur de la rechute, la solidarité (et les tensions) avec ses «frères d'armes», les autres curistes... avec son oeil de journaliste précis et exigeant, il a tout noté, au jour le jour, de ce redoutable et indispensable voyage vers soi-même. Depuis presque deux ans, il ne boit plus, et le récit de son divorce d'avec l'autodestruction se lit comme un immense cri d'espoir.
Car au-delà de sa propre histoire, le récit d'Hervé Chabalier est un journal de bord très concret pour aider toutes celles et ceux qui sont directement ou indirectement confrontés à cette maladie encore largement taboue bien qu'elle touche cinq millions de personnes en France.

Une enfance entre la Lozère, dont il est natif, et Barcelone, une adolescence en Afrique, avec ses parents instituteurs : Hervé Chabalier est depuis toujours un globe-trotter que passionnent le monde et ses soubresauts. Très jeune grand reporter au «Nouvel Observateur» puis au «Matin de Paris», il couvre tous les grands conflits de la planète, de l'Afghanistan au Liban en passant par l'Amérique du Sud, ce qui lui vaut de recevoir le prix Albert-Londres pour l'ensemble de ses reportages. Depuis quinze ans, il dirige l'agence Capa, qu'il a fondée et qui a acquis au fil des ans une réputation internationale d'excellence et d'exigence en matière de télévision. Il est marié et père de deux enfants.

[Samoa]

Augusten BURROUGHS // Courir avec des ciseaux

Présentation de l'éditeur
Roman autobiographique choc, Courir avec des ciseaux est le récit tragi-comique d’une enfance et d’une adolescence hors des sentiers battus, aux Etats-Unis, dans les années 70 mais aussi une réflexion plus large sur la sexualité, le mariage et la société américaine.

Depuis sa plus tendre enfance, Augusten déteste l’école et le désordre sous toutes ses formes, et voue une passion quasi-obsessionnelle à tout ce qui brille : des stars qu’il voit à la télévision aux piécettes qu’il astique en regardant ses feuilletons favoris, en passant par les chevelures soyeuses et les stéthoscopes rutilants pendus au cou des médecins. Augusten sait également depuis toujours une chose à son propos : il est gay.

En attendant le divorce qui mettra fin aux disputes violentes entre son père – prof de math alcoolique – et Deirdre, sa mère – poétesse narcissique et psychologiquement instable –, Augusten se prépare activement à un avenir plus radieux, dans lequel il se rêve animateur vedette d’un talk-show, ou médecin – l’idéal demeurant à ses yeux d’incarner un médecin dans une série télévisée.

Or, après la séparation de ses parents, alors qu’il a douze ans, la vie d’Augusten prend un tournant inattendu : loin de retrouver un équilibre, sa mère enchaîne les épisodes psychotiques, entame une liaison avec l’épouse d’un pasteur et décide de confier la garde de son fils à son propre psy, le Dr Finch. Au sein de cette famille d’adoption une nouvelle vie commence pour Augusten…

Sous ses airs débonnaires de père Noël, le Dr Finch est un psy aux méthodes peu orthodoxes, qui distribue les Valium comme des pastilles mentholées et emmène ses patientes dans des motels sous couvert de leur administrer un traitement intensif. Dans la vieille maison croulante et remplie de crasse qui abrite la famille Finch, c’est un Augusten sous le choc qui découvre sa nouvelle famille d’adoption : Agnès, l’épouse du docteur, qui grignote des croquettes pour chiens en regardant la télé ; Hope, une des filles aînées, aveuglément dévouée à son père ; Natalie, qui à treize ans, après un essai de vie conjugale avec un des patients de son père, revient sous le toit familial et devient la meilleure amie d’Augusten ; et Neil Bookmann, un pédophile et ancien patient du docteur, qui vit dans la cabane à outils et avec lequel Augusten a une liaison.

Dans cette maison où nulle règle ne régit le quotidien, sinon celle du bon vouloir de chacun, où l’avenir se lit tantôt dans la bible, tantôt dans la cuvette des cabinets, où les sapins de Noël restent en place jusqu’au mois de mai… Augusten et Natalie font les quatre cents coups et, conscients d’avoir pris un drôle de départ dans la vie, s’interrogent sur leur avenir. --Ce texte fait référence à l'édition Broché .

L'auteur vu par l'éditeur
Augusten Burroughs est né à Pittsburgh en Pennsylvanie et a grandit dans l’ouest du Massachusetts. Enfant abusé sexuellement, gay instable, ancien alcoolique et drogué, il vit aujourd’hui à New York et a publié à ce jour trois livres qui sont tous devenus des best-sellers (Running with Scissors qui est resté plus de 70 semaines dans le classement des meilleures ventes du New York Times et qui a obtenu le premier prix des lectrices du magazine Elle aux Etats-Unis, Magical Thiniking et Dry).

Augusten Burroughs collabore également pour plusieurs magazines internationaux et chaque mois, il publie sa très attendue chronique dans la revue Details. Il est également animateur d’une émission hebdomadaire diffusée sur la National Public Radio.

A 39 ans, Augusten est reconnu aussi bien par les critiques que par le public outre-Atlantique comme un écrivain talentueux, et chacune de ses apparitions en public est un événement qui attire les foules. Véritable star aux Etats-Unis, il n’en reste pas moins un personnage discret et intrigant, dont l’histoire, qui nous est dévoilée dans Running with Scissors (Courir avec des ciseaux), est avant tout celle d’une enfance douloureuse et pour le moins atypique, mais surtout celle d’un destin hors du commun et tout à fait extraordinaire.

Actuellement, Augusten Burroughs travaille sur l’adaptation de son roman pour le grand écran. Après David Lynch et Martin Scorcese, c’est Ryan Murphy (réalisateur de la série Nip/Tuck) qui a été choisi pour l’écriture du scénario et la réalisation. Le film, dont le tournage débute en mars 2005, sera produit par Brad Pitt. Du côté des acteurs, on devrait retrouver notamment Gwyneth Paltrow, Alec Baldwin et Brian Cox (Hidden Agenda, Long Island Expressway, X-Men 2). --Ce texte fait référence à l'édition Broché .

Et là j'ai commencé :

David GILBERT // Les Normaux

Présentation de l'éditeur
New York, 1999. Billy Schine cultive l'art du détachement. Tandis que ses camarades se font des millions à Wall Street, lui met un point d'honneur à collectionner les petits boulots... et les dettes. Lorsque Ragnard, un usurier aux méthodes expéditives, commence à montrer quelques signes d'impatience, Billy n'a plus qu'une solution : plaquer sa copine, fuir New York et se faire oublier quelques semaines au CRAH, une clinique spécialisée dans les tests pharmaceutiques. Engagé comme vingt-cinq autres cobayes pour subir les effets secondaires d'un psychotrope innovant, il commence vite à ressentir de bien curieux symptômes...

Biographie de l'auteur
David Gilbert est né à l'Hôpital américain de Paris en 1967 et a grandi aux Etats-Unis. Après Les marchands de vanité (Belfond, 2007), un recueil de nouvelles salué par la critique outre-Atlantique, il publie son premier roman, Les Normaux. David Gilbert vit aujourd'hui à New York.

[pjale]

Augusten BURROUGHS // Courir avec des ciseaux

Présentation de l'éditeur
Roman autobiographique choc, Courir avec des ciseaux est le récit tragi-comique d’une enfance et d’une adolescence hors des sentiers battus, aux Etats-Unis, dans les années 70 mais aussi une réflexion plus large sur la sexualité, le mariage et la société américaine.

Depuis sa plus tendre enfance, Augusten déteste l’école et le désordre sous toutes ses formes, et voue une passion quasi-obsessionnelle à tout ce qui brille : des stars qu’il voit à la télévision aux piécettes qu’il astique en regardant ses feuilletons favoris, en passant par les chevelures soyeuses et les stéthoscopes rutilants pendus au cou des médecins. Augusten sait également depuis toujours une chose à son propos : il est gay.

En attendant le divorce qui mettra fin aux disputes violentes entre son père – prof de math alcoolique – et Deirdre, sa mère – poétesse narcissique et psychologiquement instable –, Augusten se prépare activement à un avenir plus radieux, dans lequel il se rêve animateur vedette d’un talk-show, ou médecin – l’idéal demeurant à ses yeux d’incarner un médecin dans une série télévisée.

Or, après la séparation de ses parents, alors qu’il a douze ans, la vie d’Augusten prend un tournant inattendu : loin de retrouver un équilibre, sa mère enchaîne les épisodes psychotiques, entame une liaison avec l’épouse d’un pasteur et décide de confier la garde de son fils à son propre psy, le Dr Finch. Au sein de cette famille d’adoption une nouvelle vie commence pour Augusten…

Sous ses airs débonnaires de père Noël, le Dr Finch est un psy aux méthodes peu orthodoxes, qui distribue les Valium comme des pastilles mentholées et emmène ses patientes dans des motels sous couvert de leur administrer un traitement intensif. Dans la vieille maison croulante et remplie de crasse qui abrite la famille Finch, c’est un Augusten sous le choc qui découvre sa nouvelle famille d’adoption : Agnès, l’épouse du docteur, qui grignote des croquettes pour chiens en regardant la télé ; Hope, une des filles aînées, aveuglément dévouée à son père ; Natalie, qui à treize ans, après un essai de vie conjugale avec un des patients de son père, revient sous le toit familial et devient la meilleure amie d’Augusten ; et Neil Bookmann, un pédophile et ancien patient du docteur, qui vit dans la cabane à outils et avec lequel Augusten a une liaison.

Dans cette maison où nulle règle ne régit le quotidien, sinon celle du bon vouloir de chacun, où l’avenir se lit tantôt dans la bible, tantôt dans la cuvette des cabinets, où les sapins de Noël restent en place jusqu’au mois de mai… Augusten et Natalie font les quatre cents coups et, conscients d’avoir pris un drôle de départ dans la vie, s’interrogent sur leur avenir. --Ce texte fait référence à l'édition Broché .

L'auteur vu par l'éditeur
Augusten Burroughs est né à Pittsburgh en Pennsylvanie et a grandit dans l’ouest du Massachusetts. Enfant abusé sexuellement, gay instable, ancien alcoolique et drogué, il vit aujourd’hui à New York et a publié à ce jour trois livres qui sont tous devenus des best-sellers (Running with Scissors qui est resté plus de 70 semaines dans le classement des meilleures ventes du New York Times et qui a obtenu le premier prix des lectrices du magazine Elle aux Etats-Unis, Magical Thiniking et Dry).

Augusten Burroughs collabore également pour plusieurs magazines internationaux et chaque mois, il publie sa très attendue chronique dans la revue Details. Il est également animateur d’une émission hebdomadaire diffusée sur la National Public Radio.

A 39 ans, Augusten est reconnu aussi bien par les critiques que par le public outre-Atlantique comme un écrivain talentueux, et chacune de ses apparitions en public est un événement qui attire les foules. Véritable star aux Etats-Unis, il n’en reste pas moins un personnage discret et intrigant, dont l’histoire, qui nous est dévoilée dans Running with Scissors (Courir avec des ciseaux), est avant tout celle d’une enfance douloureuse et pour le moins atypique, mais surtout celle d’un destin hors du commun et tout à fait extraordinaire.

Actuellement, Augusten Burroughs travaille sur l’adaptation de son roman pour le grand écran. Après David Lynch et Martin Scorcese, c’est Ryan Murphy (réalisateur de la série Nip/Tuck) qui a été choisi pour l’écriture du scénario et la réalisation. Le film, dont le tournage débute en mars 2005, sera produit par Brad Pitt. Du côté des acteurs, on devrait retrouver notamment Gwyneth Paltrow, Alec Baldwin et Brian Cox (Hidden Agenda, Long Island Expressway, X-Men 2). --Ce texte fait référence à l'édition Broché .

eh samoa, je viens de le commencer!!!
alors? tes impressions...pour le moment je suis à fond dedans!!

[Samoa]

eh samoa, je viens de le commencer!!!
alors? tes impressions...pour le moment je suis à fond dedans!!

Pareil à fond dedans du début à la fin, ce mec est déjanté et les gens qu'il rencontre sont vraiment barjes, à mon avis t'es pas au bout de tes surprises ! Très bon bouquin, il y a une suite, "Déboire" où là encore c'est autobiographique. Enfin avant de le dire, je termine ce qui est en court, je me fais le nouveau Paul Auster, et après on verra !