Présentation de l'éditeur
Conte new age et acidulé, Girlfriend dans le coma dynamite l'American Way of Life version fin de siècle. Karen Ann McNeil, adolescente et extralucide, tombe dans le coma à la fin des seventies pour se réveiller dix-sept ans plus tard. Et que découvre-t-elle ? A l'Est, les Russes ne sont plus nos ennemis, à l'Ouest, l'amour est devenu mortel et, partout, sa génération sombre dans un vaste gouffre existentiel. Même Richard, son petit ami, a suivi une bien mauvaise direction... Par cette fable mystique sur une jeunesse en manque d'idéaux, l'auteur de Microserfs et de Génération X, brosse le portrait d'une époque désenchantée en quête d'authenticité. " Après l'ironie douce-amère du roman culte Génération X, l'auteur se fait mélancolique et métaphysique pour réussir l'un de ses meilleurs livres à ce jour. " Matthieu Rémy, Rolling Stone.
Biographie de l'auteur
Douglas Coupland est né en 1961, en Allemagne, sur une base de l'armée canadienne. Ecrivain, plasticien, designer, il est l'auteur de plusieurs romans cultes, dont Génération X, Microserfs, Girlfriend dans le coma et Hey, Nostradamus (à paraître au Diable Vauvert en 2006), élu meilleur roman de l'année 2004 par l'Association des auteurs canadiens. Douglas Coupland vit aujourd'hui à Vancouvert, au Canada.
vic vega a écrit :CORRESPONDANCES de Bukowski
Une personne à la recherche d'une arme pour se suicider, décide finalement de s'en prendre à la société. A travers son personnage, l'auteur décrit sa vision de l'Amérique de Georges Bush Jr.
Un homme dépressif décide de se suicider en se tirant une balle dans la tête. À cause d'un problème d'informatique au magasin où il veut acheter son arme, il doit attendre cinq jours avant d'en prendre possession. Enragé, il se venge du système en tuant des gens et du coup, il retrouve goût en la vie. Ce thriller psychologique à l'humour noir est le dernier roman qu'a écrit Hubert Selby Jr avant sa mort. Un peu comme dans Le démon, il aborde des sujets délicats, tels le suicide ou le meurtre, avec beaucoup de légèreté.
vic vega a écrit :j'suis un peu resté sur ma fain avec le dernier Selby Jr, d'ailleurs j'ai entendu parler de "Selby de Brooklyn" une biographie/entretiens jsais pas trop mais j'ai trouvé nulle part
sinon Correspondance de Bukowski c'est vraiment pas mal, de sa première publication jusk'à sa mort, il parle toujours de bibine mais un peu plus de l'envers du decor, il dit ke pr oublié son ex il s'enferme trois jours dans sa piaule pr picoler, puis il raconte ses allers et venue a l'hosto pr differents problemes dont celui ki le tuera (leucémie si jme souviens bien) par contre aucune correspondance avec des gens connus (sean penn...) mais ils le cite en disant qu'il sont allés au resto ensemble (+ madonna à l'epok femme de penn) et ke c'est lui (buk) qui a payé mais k'ensuite penn s'est bien rattrapé lol ou encore il raconte k'il n'a pas gerbé dans une emission de tv française (vs l'avez reconnue ) mais k'il a sorti son opinel en coulisse contre ceux ki le faisaient chier lol enfin voila Buk est fidèle à lui-même dans ces correspondances et on en apprend un peu + sur lui, comment il se perçoit, perçoit son taf...
sinon là je suis au milieu de DA VINCI CODE et jtrouve pas ça terrible, ça ressemble a du J-C Grangé, un peu toujours le même style d'intrigue et j'aime pas trop le style d'écriture mais bon ça se lit vite et puis pr critiquer il faut le lire
vic vega a écrit :sinon Correspondance de Bukowski c'est vraiment pas mal, de sa première publication jusk'à sa mort, il parle toujours de bibine mais un peu plus de l'envers du decor, il dit ke pr oublié son ex il s'enferme trois jours dans sa piaule pr picoler, puis il raconte ses allers et venue a l'hosto pr differents problemes dont celui ki le tuera (leucémie si jme souviens bien) par contre aucune correspondance avec des gens connus (sean penn...) mais ils le cite en disant qu'il sont allés au resto ensemble (+ madonna à l'epok femme de penn) et ke c'est lui (buk) qui a payé mais k'ensuite penn s'est bien rattrapé lol ou encore il raconte k'il n'a pas gerbé dans une emission de tv française (vs l'avez reconnue ) mais k'il a sorti son opinel en coulisse contre ceux ki le faisaient chier lol enfin voila Buk est fidèle à lui-même dans ces correspondances et on en apprend un peu + sur lui, comment il se perçoit, perçoit son taf...
James Vanning revoit par la pensée une décapotable bleue suivre les méandres du Colorado. A un tournant : le rouge d'une carrosserie défoncée, l'éclat de pare-chocs tordus et l'acier d'un revolver. Une chambre d'hôtel au au tapis pourpre. Là encore, l'acier d'un revolver. Un coup de feu, un homme qui tombe et le souvenir s'efface. Plus rien.
Cette amnésie, James Vanning risque de la payer de sa vie.
vic vega a écrit :SPOILER: on sait pas ce que devient Vernet si? pr moi c'est lui la Maître non? faut dire ke jl'ai surtout lu dans le train donc j'ai ptèt decroché sur un passage
Jadis concertiste réputé à Carnegie Hall, Eddie a tout perdu à la suite de la trahison et du suicide de son épouse Teresa. Depuis sept ans, il gagne sa vie en jouant du piano dans une boîte de Philadelphie. C'est là que vient le rejoindre Turley, un de ses malfrats de frères qui a escroqué l'Organisation et se trouve, depuis, pourchassé par deux tueurs. Pour l'avoir aidé à s'échapper, Eddie est kidnappé par les truands qui enlèvent également Lena, une serveuse qui travaille dans le même établissement. Mais le couple réussit à fausser compagnie aux kidnappeurs. Eddie, revenu dans sa boîte, se dispute avec son employeur Wallie à qui il reproche d'avoir donné son adresse aux tueurs. Une bagarre s'ensuit au cours de laquelle Wallie meurt. Eddie doit fuir la police…
Tirez sur le pianiste, porté à l'écran par François Truffaut, est typique de l'univers désespéré du romancier américain David Goodis : un homme, jadis au faîte de la célébrité, a sombré à cause d'un amour trahi. Il tente de s'extraire du cloaque dans lequel il s'est enlisé, mais avec son passé qui lui colle à la peau, il n'en a plus la force. Ici, le désespoir semble au bout du voyage. Même si l'attachement que porte Eddie le timoré à la belle Lena laisse entrevoir un épilogue plus optimiste… --Claude Mesplède
Thelonious Monk Ellison, romancier noir américain que la réussite n'a cessé de fuir, se voit un jour reprocher de ne pas écrire dans un style "assez black". Révolté par l'audience phénoménale d'un roman médiocre consacré à la réalité des ghettos, il en rédige, sous pseudonyme, une parodie incisive et vengeresse qu'il soumet par défi à un éditeur. Le succès est aussi fracassant qu'immédiat. Mais ce jeu schizophrène reste sans effet sur la vie du "vrai" Monk au moment d'affronter les tragédies personnelles et les crises familiales qui bouleversent son improbable existence d'artiste... Très politiquement incorrect dans son approche de la question raciale, ce roman, où l'autodérision et l'ironie côtoient le lyrisme, est pétri d'une érudition jubilatoire, d'une redoutable connaissance du milieu littéraire, et, plus que tout, d'une intime fréquentation des passions de l'âme...
Quel point commun peut bien relier le sexe, les drogues, un hold-up, la NASA, le virus VIH, une vieille femme qui carbure aux pilules et croupit dans un terne motel, l'attrait décalé de la pêche au marlin, une astronaute manchotte, la sévère remise en cause du commerce mondial et des produits OMG, et un paquet d'individus dépressifs au possible ? Toutes les familles sont psychotiques ou le portrait tout en caricatures superposées de la famille Drummond, dont l'un des membres, Sarah, génie scientifique devenue astronaute, doit s'envoler dans quelques jours de cap Canaveral.
Dans un roman qui cultive les paradoxes jusqu'à l'ivresse, la rigueur et la scientificité des préparatifs de la navette américaine jurent avec le laisser-aller foutraque et l'incurie permanente de Ted et Janet Drummond, parents divorcés de ces redoutables grands enfants que sont Wade, Bryan et Sarah, dont le lecteur découvre au fur et à mesure l'abyssale liste des problèmes qui les frappent. La vie et les déboires d'une famille de la middle-class américaine que Coupland décrit à grand renfort de flash-back. Escroc à la petite semaine, Wade est atteint du VIH - qu'il a transmis à sa mère, après que Ted lui ait tiré dessus pour avoir couché avec Nickie, ignorant qu'il s'agissait de sa nouvelle belle-mère ! Bryan est un suicidaire qui se raccroche à une nouvelle amie, au nom imprononçable, Shw, laquelle attend un enfant qu'elle souhaite revendre via Internet à un couple de riches Américains de Daytona Beach. Nickie rejoint le clan de ces malades en diable lorsqu'elle apprend à Janet qu'elle est elle aussi atteinte du sida. Aux côtés de Ted, qui n'a plus que 9 mois à vivre, et de Janet, sexagénaire accro aux sites porno, Sarah, qui a tout l'air d'une sainte, n'est pas en reste puisqu'elle trompe son mari avec le commandant de bord de sa navette spatiale...
Quand tout ce petit monde commence à s'exciter autour d'une lettre, écrite par le prince William à sa mère décédée, la princesse Diana, épître qu'un acheteur suisse est prêt à payer un monceau de dollars, la folie gagne le livre entier. Et le lecteur d'être emporté dans un tourbillon hilarant, aux influences très cinématographiques, qui n'épargne rien sur son passage. --Frédéric Grolleau --
mike baroud a écrit :
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